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"Bibliothèque Vigilante": suite et fin ?

Dernière mise à jour : 17 juil.

Les propos calomniateurs du site Bibliothèque Vigilante ont été retirés après deux courriers à leur intention.


Voici publiée la réponse du site, en espérant que cet incident soit clos.


Il est particulièrement dangereux d’établir des fiches fondées sur des rumeurs ou des ragots de personnes envieuses/mécontentes (j’ai une petite idée de qui est cette collègue, car j’ai été menacée en 2018 par écrit précisément par une collègue psychologue clinicienne hargneuse, et diffamée publiquement au sein de mes pairs par cette femme), ou encore, des fréquentations de relations de relations. A ce compte-là, tout le monde devient extrême-droite !

Revenir aux sources, c’est uniquement revenir aux déclarations directes de l’auteur, et à ses écrits, et non à ce qu’en comprennent/interprètent/instrumentalisent d’autres individus ou courants politiques. Le trafic des textes et des déclarations d’auteur n’est pas un fait nouveau, parfois même pour leur faire dire le contraire de ce qu’ils disent, y compris post-mortem. Il convient d’y être particulièrement vigilant et de rétablir l’intégrité des propos d'un auteur dès que l’occasion en est donnée.


Dans un contexte de grande turbulence, de mensonges et de confusion médiatique, je suis disposée à répondre personnellement aux interrogations à mon sujet ou au sujet de mes propos/écrits, en apportant des preuves chaque fois que nécessaire et que possible.


A. Bilheran.


Voici la réponse de Bibliothèque Vigilante en date du vendredi 27 août 2022 à 17h20 à la réponse d'Ariane Bilheran en date du 27 août 2022 faisant suite à la réponse de Bibliothèque vigilante du 26 août 2022 au courrier d'Ariane Bilheran du 24 août 2022, suivie de la réponse d'Ariane Bilheran en date du 27 août 2022.


Bonsoir,


J'avoue ne pas avoir lu votre lettre, je m'en excuse et je la lirai. Mais c'est parce que votre remarque m'a travaillé toute la journée... Et si, après tout, me trompai-je ? Ne pouvant totalement répondre à la question — je l'avoue —, mon intuition me disait que je devait ôter cette mention vous concernant. Je suis rentré ce soir. Et c'est ce que j'ai fait.


Je crains d'avoir succombé à une dénonciation calomnieuse. Je vous explique — vaguement — après. Je devrais, aussi, m'en excuser sur mon site. Je le ferai. Pour l'instant il y a un petit entrefilet mais je ne suis pas rentré dans les détails. Je ne vous ai pas mentionné nominativement, ainsi les annuaires de recherche ne vous associeront plus à cette « bibliothèque » lors de leur prochain passage sur le site. Ça ne devrait pas traîner car j'ai aussi demandé une réindexation de ce contenu par le robot recherche Google Search. On peut le faire, autant en profiter.


Néanmoins, cette « consœur » dont je vous avais parlé, existe bel et bien. En chair et en os. Or, j'ai surestimé mes capacités rationnelles cognitives et succombé, lâchement, à un de ces biais cognitifs dont je ne taris pas d'éloges pourtant… La persistance des croyances en quelqu'un que l'on connaît et qui, par des stratagèmes fallacieux, dénonce des « faits » fallacieux. Je n'ai pas suffisamment cherché la source de l'information et elle s'avérait… fausse. Diable.


Mais c'est ainsi, je ne suis qu'un être imparfait qui fait des choses imparfaites. Certaines personnes y trouvent leur compte, pas d'autres.

À vous de voir. J'accepte la bien veillance et c'est ce que je vous propose en échange de cet « égarement ». J'efface. Je m'excuse. Et… ma machine n'a même pas eu le temps de la conserver en mémoire. Si je réécris un jour, ce sera pour dire autre chose.


CR




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