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Colloques interdisciplinaires « Corruption et fraude dans la crise COVID depuis 2020 »

Dernière mise à jour : 10 juil.

Une autre vision depuis la francophonie


Colloques réalisés en France et au Portugal en septembre 2022.


Des actes de ces colloques sont en cours de publication.

Vous y retrouverez les contributions écrites des intervenants.




Présentation vidéo des colloques par Amandine Lafargue,

psychologue clinicienne et psychologue du travail





Les décisions politiques imposées aux populations depuis le premier trimestre 2020 ont été sans précédent dans l’histoire, tant dans leur violence, que dans leur motif, et dans leur amplitude.

Au cours de ces colloques, nous avons souhaité présenter divers travaux d’investigation francophones sur les modalités de la corruption, qui ne concernent pas que la corruption médicale, qui a déjà été traitée par ailleurs.

Nous avons traité de la corruption systémique, politique, médiatique, scientifique (épidémiologique, mathématique, informatique, statistique…), juridique, philosophique et psychologique, avec une analyse critique sur les deux années écoulées.

L’ensemble du tableau a porté la réflexion sur le rôle de la corruption dans la dérive totalitaire, la fraude permettant d’organiser la manipulation des masses, et d’obtenir leur consentement.

Il est donc essentiel d’y voir clair, et c’est l’enjeu de ces colloques de donner des outils pour un discernement plus aiguisé.

Ces colloques ont été rendus possibles grâce au soutien généreux de différentes associations. Qu’elles en soient très chaleureusement remerciées ! Les intervenants sont bénévoles.



1. Comment en sommes-nous arrivés là ? Histoire du lente corruption


Olivier Soulier, médecin homéopathe, chercheur, fondateur de la médecine du sens, fondateur du Syndicat Liberté Santé, intervient régulièrement au CSI (Conseil Scientifique Indépendant) dont il est aussi membre fondateur.




Ce qui se produit actuellement n’a pas commencé en 2020 ou 2019, ni même dans les vingt dernières années.

C’est un long processus d’envahissement de la médecine humaniste par la médecine chimique, business et corruptive depuis un siècle, alliée et gouvernées par des forces essentiellement financières. Cette présentation retrace les lignes principales, ce qui permet de mieux comprendre le comment, le pourquoi et les forces en présence.





2. Corruption philosophique et psychologique


Ariane Bilheran, normalienne, docteur en psychopathologie, co-auteur du livre Le débat interdit (Trédaniel) et Les chroniques du totalitarisme 2021. Elle est intervenue dès le début de la crise pour expliquer les mécanismes de manipulation de masse, et la dérive totalitaire en cours. Elle a notamment participé en tant qu’experte au Jour 4 du Grand Jury du Dr Reiner Füllmich, au CSI (Conseil Scientifique Indépendant) et a interviewé Vera Sharav pour diffusion en France.



La dérive totalitaire actuelle suppose un endoctrinement des masses à l’idéologie ainsi qu’une corruption radicale de notre rapport métaphysique au monde et au savoir. Fonctionnant au mensonge, le phénomène totalitaire ne se légitime que par la fraude sur les premiers principes dans les domaines dont il s’empare : fraude langagière, fraude épistémologique, fraude politique, fraude juridique, fraude morale et fraude psychique. Cette fraude repose sur une conception erronée et réduite de l’être humain et de sa relation au monde, afin de lui supprimer ses droits fondamentaux.





3. Corruption médiatique

Slobodan Despot est éditeur, traducteur, romancier, directeur de la lettre magazine L’Antipresse, journaliste et écrivain. Il a proposé dès le début de la crise en 2020 un autre regard médiatique qui analyse en particulier le traitement de l’information par les médias de masse.


Comment se protéger du Covid ? En coupant la télévision ! » Sous cette boutade se cache une effrayante réalité : pour la première fois dans l’histoire, une pandémie a fait davantage de dégâts dans les têtes que dans les corps, intimidé davantage par les récits et les projections qu’on en faisait que par ses effets physiques. La compréhension de cette séquence dystopique impose donc un réexamen fondamental de nos systèmes d’information transformés en outils d’intimidation et de contrôle des masses.





4. Corruption juridique

Virginie de Araujo-Recchia, avocate au Grand Jury du Dr Reiner Füllmich a déposé de nombreuses plaintes dont une plainte pour « dérives sectaires », impliquant des faits « d’abus frauduleux de l’état d’ignorance et de la situation de faiblesse », ainsi que de « complicité d’empoisonnement et de génocide ».


Autant nous assistons à l’inversement des valeurs au sein de nos sociétés occidentales, autant nous assistons à l’inversement de la hiérarchie des normes juridiques.

En effet, force est de constater que les grands principes juridiques applicables, en toutes circonstances, au sein/au cœur de toute société civilisée, sont désormais foulés au pied au détriment de l’intérêt des peuples et corrélativement au seul profit de la finance internationale mondialiste détenant notamment les groupes pharmaceutiques impliqués.

La fraude est commise sous l’égide de fondations, d’agences et de groupes de réflexion internationaux et au travers de la corruption des médias grand public et des plateformes numériques complices du cloisonnement de l’information et par conséquent d’un obscurantisme décomplexé.

Ainsi, une réglementation technocratique pullulante, incohérente et déracinée se substitue aux normes supérieures avec les conséquences désastreuses que nous connaissons.

Règne désormais un mépris total du droit à la vie, du principe de la dignité humaine, de la sacralité de l’esprit et du corps jusqu’à atteindre l’environnement du fœtus et le génome de l’être humain.

Ces questions nous mènent à la croisée du droit et de la philosophie.






5. La corruption des philosophes et des intellectuels

Mehdi Belhaj Kacem est philosophe, auteur de Coronacocovirus – D’un génocide non conventionnel (éditions Exuvie).


Ce livre a été écrit avec la volonté de dresser un constat sur la crise du Covid-19 en adoptant un regard à la fois philosophique et politique. Cette crise a en effet bouleversé le monde entier dans ses fondements et comme jamais auparavant.




6. La corruption des esprits : comment les nouvelles grandes puissances financières contrôlent la narration du Covid et menacent la démocratie

Laurent Mucchielli est sociologue, directeur de recherche au CNRS, auteur de La doxa du Covid (Bastia, éditions Éoliennes, 2022, 2 tomes, 128 et 566 pages).




7. Covid19 – Corruption mathématique et épidémiologique

Vincent Pavan, docteur en mathématiques, enseignant à l’Université d’Aix-Marseille, est co-auteur du livre Le débat interdit (Trédaniel). Il est intervenu dès mars 2020 pour dénoncer les fraudes mathématiques ayant préexisté aux décisions politiques sur les confinements et a déposé plusieurs plaintes en justice. Il est membre fondateur du CSI (Conseil Scientifique Indépendant).


Dans un grand nombre de secteurs différents, la crise liée au COVID a révélé des fonctionnements totalement corrompus. Peu de secteurs institutionnels auront pu échapper à une déliquescence complètement de leur éthique, leur déontologie ou leurs principes.

Ainsi en France la médecine a-t-elle abandonné son serment d’Hippocrate, sous pression d’un Conseil de l’Ordre retrouvant là son fonctionnement collaborationniste originel.

De la même manière, la justice administrative, prise entre son devoir de service de l’exécutif et son rôle de protection des libertés publiques, a résolument choisi de cautionner les décisions administratives plutôt que la protection des droits de l’Homme, quand bien-même son devoir sacré consistait précisément en la protection contre le fonctionnement du totalitarisme.

Au premier plan de la corruption, l’Université est également devenue l’alliée objective du régime totalitaire, non seulement en cautionnant le scientisme déliquescent des experts officiels de l’État, mais également en s’attaquant aux chercheurs capables de délivrer une pensée critique maîtrisée s’opposant à la narration idéologique du pouvoir.

Dans notre intervention, nous montrons que les idéologues du régime ont tenté de corrompre la science attachée à la modélisation mathématique du réel pour tenter de faire croire à l’existence de raisons épidémiologiques fiables et objective aux privations absurdes de liberté qui ont été décidées dans de nombreux états occidentaux.

À l’aide de présentations truquées, d’algorithmes détournés et d’utilisation frauduleuse du langage mathématique, ils ont sciemment fraudé les principes de la science pour contrefaire des résultats qu’ils savaient parfaitement invalides. Servis aux médias et à la représentation politique qui les a acceptés sans discuter, ces résultats ont permis que s’installent dans l’imaginaire collectif des croyances infondées qui polluent encore aujourd’hui, et peut-être pour longtemps, la représentation de la syndémie de Sars-Cov-2.

En montrant de façon détaillée où se situent les pires impostures scientifiques des membres du conseil scientifique français, nous établissons que la corruption de la science a constitué l’une des pires falsifications de l’histoire, que l’Université et les chercheurs, dans leur grande majorité ont accepté sans sourciller.


8. Corruption informatique

Emmanuelle Darles, docteur en informatique, enseignante à l’Université de Poitiers, auteur du livre Ne touchez pas à nos enfants. Emmanuelle a présenté ses travaux au Sénat en France, qui refuse de les rendre publics. Elle participe régulièrement au CSI (Conseil Scientifique Indépendant).




Au cours de ces dernières décennies, nous avons assisté à une volonté de modéliser le monde en vue de le réduire à quelques algorithmes. Durant cette crise, plusieurs mesures sanitaires (confinement, masques, …) ont été prises sur la base de ces calculs qui s’inscrivent allègrement dans la réduction du vivant et de sa complexité. Cette présentation adresse un état des lieux de la corruption informatique dans ce contexte ainsi que les failles conceptuelles des méthodes qui ont été utilisées qui ont conduit à une atteinte des libertés fondamentales individuelles.





9. Covid-19 histoire d’une fraude statistique – une arnaque au comptage


Pierre Chaillot, chercheur, auteur de la chaîne Décoder l’éco, analyse régulièrement les manipulations dans les interprétations statistiques, notamment dans ses interventions au CSI (Conseil Scientifique Indépendant).





La crise Covid : épidémie de la peur et du mensonge propagée par le virus statistique. Depuis 2 ans, un déferlement continu de chiffres bien choisis a accompagné chaque phase de l’histoire : prédictions catastrophistes sur la base de modèles imaginaires, changements de définitions, oubli ou sélection orientée des éléments de comparaison, utilisation sans filtre de données non contrôlées… Toute publication a dû se conformer au postulat initial : un virus mortel circule mondialement, toutes les mesures mises en place sauvent des vies, tout particulièrement les vaccins sûrs et efficaces. Pour certains ce prisme de lecture sacrifiant tout principe déontologique a permis un enrichissement jamais égalé, pour d’autres, l’asservissement d’une population reconnaissante envers ses sauveurs, et pour les derniers le sentiment du devoir accompli en protégeant la plèbe d’une vérité trop rassurante face au danger.





10. Corruption systémique et endémique des systèmes de santé

Jean-Dominique Michel, anthropologue de la santé, auteur du livre Covid : anatomie d’une crise sanitaire (éd. Humensciences), expose depuis mars 2020 tous les aspects de corruption systémique et les mensonges dans les systèmes de santé. Il est membre du CSI (Conseil Scientifique Indépendant).




Alors que l’instrumentalisation des politiques sanitaires au service d’intérêts prioritaires autres que ceux de la population est connu de longue date comme un problème systémique, la crise du Covid a été l’occasion d’une étonnante amnésie collective (à moins qu’il se soit agi d’un interdit) à ce sujet. Ceci pendant que les processus de corruption directs et indirects se diffusaient largement à d’autres milieux, posant désormais la question de leur possible endémicité au cœur de notre société.







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