top of page

Kinsey, Rockefeller & MK Ultra : Instruments du Nouvel Ordre Mondial, par Pr. Judith Reisman

Dernière mise à jour : 9 juil.

Ce travail a été réalisé par Judith Reisman à destination des peuples.

Judith Reisman l’a transmis à Ariane Bilheran pour diffusion en France, le texte a été traduit en français par une équipe de traducteurs bénévoles, un grand merci à eux, et à tous ceux qui ont compris la gravité du problème idéologique, et son étendue.


Vous trouverez sous l’article le texte de Judith Reisman écrit en Août 2020, à télécharger dans les 2 langues, en anglais et français.

A diffuser sans modération.


Résumé


En 1932, le communiste W.Z. Foster a prédit que la destruction de plusieurs facteurs – « enseignement, moralité, éthique, science, art, patriotisme, religion » – était nécessaire pour l’établissement d’un « Nouvel Ordre Mondial »[1].


La stabilité sociale,économique et sexuelle de l’Amérique reposait jusqu’alors sur les croyances et les lois judéo-chrétiennes : abstinence avant et fidélité pendant un mariage hétérosexuel consenti. La santé et la prospérité américaines attestaient du succès de ce modèle biopsychologique sexuel normal. À partir de 1941, quand l’Amérique s’engagea dans la Deuxième Guerre mondiale, la Rockefeller Foundation (Fondation Rockefeller) commença de financer les travaux du Dr Alfred Kinsey, qu’elle connaissait pour être un sadomasochiste bi- et homosexuel. Le soutien de la Fondation Rockefeller assura un succès immédiat au livre publié par Kinsey en 1948 sous le titre « Sexual Behavior in the Human Male » [Le comportement sexuel de l’homme] ; l’« échelle Kinsey » codifia la « fluidité sexuelle » pour la postérité, assurant à l’auteur une célébrité internationale durable. La Fondation Rockefeller mit Kinsey en relation avec un réseau plus vaste de scientifiques financés également par elle. À partir de 1946 environ, Kinsey travailla en partenariat avec le Columbia-Greystone Brain Project de la Fondation Rockefeller au « Snake Pit »[2] de New York, le Rockland Mental Hospital.


Les résultats des études de Kinsey faisant état des réactions sexuelles de patients lobotomisés sont exposés de façon édulcorée dans le livre de l’intéressé paru en 1953 sous le titre « Sexual Behaviorin the Human Female » [Le comportement sexuel de la femme].


Le présent document fournit de nouvelles preuves que les 2.034 enfants et bébés (nombrea pproximatif) violés sexuellement pour établir la « preuve scientifique » – affirmée par Kinsey et appelée à révolutionner le monde – d’un orgasme chez l’enfant et le bébé, ont été trouvés notamment dans ces institutions. 82% des expériences réalisées par Kinsey sur des enfants sont l’équivalent des « techniques d’interrogatoire renforcées » utilisées sur les détenus de Guantanamo Bay soupçonnés de terrorisme. Comme la définition de l’ « orgasme » par Kinsey repose sur une symptomatologie qu’on ne peut distinguer d’une crise d’épilepsie, d’un accès de terreur ou de détresse et (ou) d’un traitement par électrochocs, les réactions physiologiques en lesquelles il prétend identifier un « orgasme » enfantin étaient en réalité d’authentiques réactions traumatiques. Il s’agit donc là d’une fraude kinseyienne découverte récemment, alors qu’elle était présentée comme relevant de la « science » par ceux qui finançaient l’intéressé à la Fondation Rockefeller. Bien loin de confirmer l’authenticité du « choc » organique dans lequel on a voulu voir une spectaculaire découverte scientifique, le présent ouvrage soutient que les travaux sexuels de Kinsey ont servi en partie à des opérations psychologiques (ou OPSPSY) [3] plus poussées servant à justifier un changement social complet.


Dernièrement encore, en 2020, la Fondation Rockefeller s’est vantée d’avoir« financé une révolution sexuelle » par le biais des « rapports Kinsey ». Depuis 1954, on assiste à un blocage efficace des efforts déployés au Congrès pour enquêter sur les travaux sexuels de Kinsey et sur le lien de cause à effet entre la pornographie et l’augmentation incessante des abus sexuels commis sur des enfants. Ceux qui agissent pour les intérêts des Rockefeller ont empêché toute dénonciation publique de Kinsey, non sans promouvoir encore ses conclusions. C’est par l’intermédiaire de Playboy que Hefner, le « héraut de Kinsey », a vendu les mensonges de la Fondation Rockefeller et du protégé de celle-ci.


La retenue sexuelle des générations antérieures – celles qui ont construit l’Amérique – a été travestie en un monceau de fabulations hypocrites; les relations sexuelles préconjugales, extraconjugales, insignifiantes et sans amour ont été présentées sous un jour séduisant ; et une génération entière ayant Hefner pour gourou a adhéré au cynisme vis-à-vis des relations humaines, au nihilisme et au rejet de toute sagesse reçue. Le Code pénal modèle (MPC) – financé par la Fondation Rockefeller en 1955, élaboré par une équipe ayant l’approbation de celle-ci et citant Kinsey–prétendait inverser les lois relatives au comportement sexuel, y compris celles de 1957 réprimant l’obscénité, et il banalisait les abus sexuels.


En 1964, le Conseil d’information et d’éducation sur la sexualité des États-Unis (SIECUS), créé par Playboy et ayant son siège à l’Institut Kinsey (KI), enseignait aux écoles à dénigrer la chasteté, l’hétérosexualité et la monogamie. Bientôt, les dérogations à la législation contre l’obscénité autorisées dans le domaine de l’ « enseignement » permirent au projet d’éducation sexuelle K-12 (du jardin d’enfants à la Terminale) d’enseigner aux enfants des comportements sexuels érotiques. Il en a inévitablement découlé une progression constante des viols d’enfants, de la pornographie et des maladies sexuellement transmissibles (MST).


En 2014, l’Institut Kinsey a obtenu un statut consultatif auprès des Nations Unies s’agissant des matériels « éducatifs » qui ont pour but de surmonter les instincts d’autoprotection les plus fondamentaux des enfants de tous âges, préparant efficacement ceux-ci à coopérer avec le programme de changement social de la Fondation Rockefeller.


Depuis 2019, l’application du KI intitulée « Kinsey Reporter » incite les « scientifiques citoyens » (de tous âges) à enregistrer et signaler anonymement tous les actes ou crimes sexuels. Une enquête congressionnelle sur le réseau criminel constitué par Fondation Rockefeller, KI, Big Pharma, Big Porn, Big Abort [4], ainsi que les pourvoyeurs et éducateurs en « santé sexuelle », passés et actuels, s’impose d’urgence afin de mettre un terme aux dommages que ces entités ont infligés à trois générations successives dans leur volonté obsessionnelle de mettre en place un Nouvel Ordre Mondial.


« Le champ de bataille,maintenant, c’est la biographie… Si Kinsey venait à être discrédité, des années de progrès sexuel se trouveraient annulées. » Dr Carole Vance, activiste pour la Justice Sociale Lesbienne[5]

Thèse


Depuis plus de soixante-dix ans, de puissantes officines s’opposent à l’ouverture d’une enquête officielle sur le Dr Alfred Kinsey et présentent ses conclusions comme exprimant la « vérité ».

Il en résulte que la politique de l’État, l’enseignement et le droit sont guidés depuis lors par les mensonges d’un psychopathe [6] pédo-sadique [7]. Au lieu de protéger les enfants et de soutenir la famille, la politique gouvernementale a facilité l’agenda d’une coalition de groupes d’intérêts qui tirent un profit personnel, financier et (ou) politique de l’exploitation sexuelle de personnes vulnérables ainsi que de la destruction de la famille nucléaire. Particulièrement notables parmi ces groupes sont les élites elles-mêmes qui, désirant établir un Nouvel Ordre Mondial, ont lancé et financé les travaux de Kinsey, vendu ses mensonges au grand public et empêché l’ouverture d’une enquête sur lui comme sur l’institut qui, sous son nom, poursuit son œuvre aujourd’hui encore. Or, une telle enquête sur Kinsey et la transformation culturelle qu’il a mise en marche n’a que trop tardé.


Introduction


Depuis les premières décennies du vingtième siècle, plusieurs « think tanks » (groupes de réflexion) philanthropiques ont été créés ou soutenus par la Fondation Rockefeller. Ce sont les suivants: Council on Foreign Relations ou CFR (1921), Tavistock Institute (1934) 8, Nations Unies (1945), groupe Bilderberg (1954), Club de Rome (1968), Commission Trilatérale (1973) et diverses organisations modernes se réclamant de la « philanthropie » et de la « justice sociale » [9]. Les travaux de ces groupes tiennent lieu de contexte au centre d’intérêt de la présente étude, qui évoque – documents à l’appui – le lancement de la révolution sexuelle mondiale de la Fondation Rockefeller utilisant les travaux de son agent provocateur [10], le Dr Alfred Kinsey, de l’Université de l’Indiana. Une campagne médiatique de masse orchestrée par Madison Avenue [11] et financée par la Fondation Rockefeller pour préparer la presse à recevoir et à rediffuser le message [12], a pleinement atteint son objectif : « Le comportement sexuel de l’homme » (1948), écrit par Kinsey et devenant le cheval de Troie de la Fondation Rockefeller, abattit les murs juridiques et sociaux qui protégeaient l’Amérique, minant la confiance en la rectitude morale,la foi religieuse et l’honneur de la « glorieuse génération » [13]. Guidés par leur écurie d’avocats, de psychiatres, de psychologues, de neurologues et de spécialistes des médias, les experts en sciences sociales et en communication de la Fondation Rockefeller ont été en mesure de façonner les attitudes du public avant et après la Deuxième Guerre mondiale (voir documentation ci-après). Et leur plan a fonctionné.


Au Cinquième Congrès mondial de Sexologie, en 1981, j’ai personnellement attiré pour la première fois l’attention du monde sur le fait que les célèbres données de Kinsey, qui aboutissaient à la conclusion importante et jusqu’alors indiscutée selon laquelle les enfants sont sexuellement éveillés depuis la naissance, avaient en réalité pour fondement l’abus criminel d’enfants. Mon exposé, intitulé «Le scientifique comme agent contribuant aux abus sexuels commis sur des enfants », reposait sur des preuves clairement visibles à la simple lecture de « Le comportement sexuel de l’homme » (1948) et « Le comportement sexuel de la femme » (1953). Il s’agissait donc de preuves indiscutables qui étaient passées inexplicablement inaperçues lors de la publication des deux rapports et durant les trois décennies ayant suivi. Mes révélations sont tombées tout d’abord dans un silence de plomb, suivi d’une consternation et d’énergiques tentatives d’écarter les faits exposés ainsi que de discréditer la chercheuse qui avait osé les signaler (le Roi est nu !). Il n’était guère surprenant que les nombreuses personnes dont la carrière, le prestige, les crédits de recherche et (ou) les moyens d’existence dépendaient de leur adhésion aux thèses de Kinsey et de leur engagement à poursuivre ses recherches sexuelles, soient si portées à défendre leur héros et à rejeter sa détractrice.


Mes recherches ont démontré également que la promotion de la fausse science de Kinsey était en rapport direct avec l’augmentation de la consommation de pornographie et l’extension de celle-ci, phénomène contribuant largement à la multiplication des viols et des abus sexuels d’enfants, ainsi qu’à la croissance de l’industrie constituée par le trafic sexuel d’enfants. Cette thèse a attiré l’attention du Département de la justice (DOJ), qui m’a confié la direction d’une task force (groupe de travail) chargée de réunir des preuves en collaboration avec le FBI. Or, juste avant qu’elle n’ait commencé à travailler, notre task force a été dissoute sans explication.

J’ai ensuite été soumise à trois enquêtes hostiles du Congrès et à un barrage d’insultes médiatiques, visant là encore à discréditer la porteuse d’un message suprêmement désagréable à l’industrie de la pornographie de même qu’à l’institution scolaire. Un journaliste d’investigation a signalé par la suite que la majeure partie de cette campagne de diffamation avait été ordonnée et payée par Playboy et Penthouse (pour un coût de plus de cinquante mille dollars par mois sur deux ans) [14]. L’intérêt qu’ils ont à voir supprimer une menace pour leur vaste empire en pleine expansion est une chose qui va de soi.

Les quarante années qui ont suivi n’ont fait que confirmer le bien-fondé de ma thèse initiale. Plus important encore, le temps et l’étude ont permis de mettre en lumière les réponses à mes questions restées sans réponse au départ quant au travail de Kinsey. Comment Kinsey avait-il pu masturber 317 garçons pré-pubères pendant des périodes allant jusqu’à vingt-quatre heures afin de pouvoir remplir son Tableau 31 ? Où étaient ces enfants à présent ? Comment Kinsey avait-il réussi à persuader la communauté scientifique – et, en fait, le monde entier – que les symptômes manifestement détaillés d’extrême détresse énumérés dans son livre étaient des symptômes d’« orgasme » chez des bébés de quatre mois ? Pourquoi l’Institut Kinsey, toujours financé publiquement par l’Université de l’Indiana, n’a-t-il jamais ouvert une enquête à ce sujet?

Lorsque des preuves aussi évidentes d’un crime des plus flagrant suscitent un tel manque d’intérêt ; lorsque des enquêtes gouvernementales dont on attend qu’elles portent le crime de Kinsey à l’attention de toute la nation, sont suspendues sans un mot ; lorsque soixante ans après sa mort, Kinsey continue d’être porté aux nues comme un héros de la science et que ses conclusions frauduleuses sont toujours faussement présentées comme un progrès scientifique présentant une fulgurance aussi historique que fondamentale ; c’est alors qu’il faut regarder au-delà de la personne de Kinsey pour y chercher la source du problème. Avec le passage du

temps, les effets destructeurs de la révolution sexuelle que les fausses données de Kinsey ont déclenchée sont devenus d’une évidence confondante. De même, il est à présent bien clair que le travail de Kinsey ne pouvait autant prospérer que s’il s’inscrivait dans une opération masquée beaucoup plus vaste, à savoir un système de crime organisé capable, d’une part de manipuler les pouvoirs gouvernementaux et administratifs destinés en principe à protéger le peuple américain, d’autre part de les coopter pour travailler à la destruction de celui-ci.

Les Rockefeller, leurs laquais et la Fondation Rockefeller, de même que leur co-conspiratrice la CIA, avec ses expériences MKULTRA de contrôle mental, ont opéré efficacement en tant qu’éléments d’un gouvernement fantôme. En coopération avec d’autres entités élitaires, les Rockefeller ont mis leurs ressources financières considérables dans la balance pour acquérir un contrôle social dans le monde entier, subvertissant indifféremment tous les régimes : communistes, fascistes et démocratiques [15]. Aux États-Unis, des patients militaires et civils

hospitalisés dans certains établissements ont été dirigés vers des services financés par la CIA. En échange de « bourses philanthropiques pour la recherche médicale », ces hôpitaux fournissaient des sujets enfants et adultes en vue d’expérience sur des êtres humains.

« Les projets de contrôle mental de la CIA représentent eux-mêmes une agression contre la conscience et la réalité […] Ces techniques ont toutes le même objet ontologique : manipuler les perceptions et recréer la réalité. Les années Quarante ont été le tournant de la stratégie des Rockefeller en matière de modification du comportement et de lavage de cerveau, de codétermination et de corporatisme en coparticipation, l’objectif étant de prendre le pouvoir aux États-Unis et de s’emparer du syndicalisme mondial. » [16]


Les techniques de modification du comportement et de manipulation psychologique explorées dans le cadre de ces expériences servent désormais à manipuler des populations entières. Il est permis d’en conclure que la discorde civile actuelle reflète le succès d’un programme d’enseignement corrupteur ou d’un lavage de cerveau subi « volontairement » au cours des soixante dernières années. Dans un rapport publié le 9 janvier 2020, le Directeur adjoint de la recherche et de l’éducation travaillant pour le Centre des archives Rockefeller [17] a porté au crédit de la Fondation Rockefeller « le financement d’une révolution sexuelle » par le biais d’un investissement (se montant à un million de dollars par an au taux actuel) dans les « Rapports Kinsey » entre 1943 et 1953. La responsabilité de la Fondation Rockefeller pour ce travail et ses conséquences est résumée visuellement par la superposition du logo Rockefeller sur l’illustration de la fameuse échelle d’évaluation homosexuelle-hétérosexuelle de Kinsey (voir ci-dessous) :


Cette désormais célèbre « échelle de Kinsey (voir ci-dessous) représente la théorie de l’intéressé selon laquelle la sexualité humaine se représente le mieux sous la forme d’un spectre. Kinsey rejetait l’idée que l’humanité puisse être compartimentée en catégories sexuelles distinctes :


« Les hommes ne représentent pas deux populations distinctes, hétérosexuels et homosexuels […] il n’est possible de répondre à aucune question quant au nombre de personnes qui, dans le monde, sont homosexuelles ou hétérosexuelles. Il est possible uniquement d’enregistrer le nombre de celles qui relèvent de chacune de ces orientations […] l’échelle hétérosexuels / homosexuels. » [18]


L’échelle allait de 0 (exclusivement hétérosexuel) à 6 (exclusivement homosexuel). (avec une catégorie supplémentaire « X » pour « absence de contacts ou de réactions socio-sexuels) [19]. L’homosexualité (ou un certain degré d’homosexualité), selon Kinsey, est si commune qu’il devient impossible de la considérer comme « anormale » ou « contre nature » [20].

De l’aveu même de Kinsey, parmi les hommes composant son échantillon (choisis, de manière significative, entre 1941 et 1945-46 – voir le Rapport sur l’homme) figuraient des homosexuels, des prostitués masculins, des violeurs, des pédo-sadiques, des délinquants incestueux et des « faibles d’esprit ». Environ 86% de ceux qu’il a interrogés avaient été déclarés inaptes au service militaire du fait de leur déviance sexuelle. Bien que les

comportements sexuels d’un tel échantillon ne soient nullement représentatifs de l’« homme », ce sont eux qui ont servi à Kinsey pour prétendre que 37% des hommes américains avaient eu une expérience homosexuelle. (Une tentative ultérieure réalisée en 1960 par des admirateurs de Kinsey afin de reproduire les résultats de son enquête et de valider ses conclusions a constaté que seul un demi-pourcent du nouvel échantillon (soit un étudiant mâle sur deux cents) était homosexuel. [21]


Bien que tout cela soit « naturel », donc « normal », les travaux de Kinsey nient la normalité de l’hétérosexualité. Si ce n’était de la répression sociale de toutes les autres pulsions sexuelles, selon lui, presque tout le monde se livrerait à chaque type d’activité sexuelle : « Eu égard à la physiologie de la réaction sexuelle et aux origines mammifères du comportement humain, il n’est pas difficile d’expliquer pourquoi un animal humain accomplit un acte sexuel donné. Il est plus difficile d’expliquer pourquoi chaque individu ne se livre pas à chaque type d’activité sexuelle. » [22]

Dans le monde fantasmatique de Kinsey, où tout tabou moral a été supprimé de toute forme d’activité sexuelle, la plupart des hommes se retrouveraient quelque part entre les deux extrêmes que sont l’homosexualité exclusive et l’hétérosexualité exclusive : la majorité d’entre eux seraient bisexuels, en fonction du désir et de la curiosité d’intensité variable qu’ils éprouveraient vis-à-vis de partenaires sexuels du même sexe et du sexe opposé. Les

travaux de Kinsey représentent donc en définitive une charte de l’hédonisme sexuel. Kinsey assurait à ses lecteurs qu’un monde sans retenue sexuelle ne causerait pas le moindre tort à personne.


Au lieu de cela, on peut constater aujourd’hui que l’observance des conseils de Kinsey a été partout à l’origine de traumatismes dus à divers facteurs : incidence croissante des abus sexuels commis sur des enfants ; emploi de moyens toujours plus perfectionnés pour approvisionner les jeunes publics en contenus pornographiques extrêmes ; adoption de mesures favorisant les intérêts des « transgenres » sans souci de la réduction correspondante des protections dont bénéficient les enfants ; enfin, condamnation des délinquants sexuels à

des peines ridiculement insuffisantes, ce qui sert à banaliser les conséquences catastrophiques des agressions sexuelles commises sur des enfants. Le caractère barbare de la culture sexuelle moderne, dont ne trouve sans doute aucun exemple dans l’histoire humaine, résulte, ainsi que nous le soutiendrons ici, des efforts délibérés accomplis par les mondialistes, notamment la Fondation Rockefeller travaillant de concert avec la CIA, celle-ci – en échange des crédits de celle-là – facilitant aux « chercheurs » l’accès à des sujets humains et leur assurant une immunité contre toute détection ou poursuite.


Le Livre Blanc apporte la preuve que les conséquences profondément délétères des travaux de Kinsey étaient intentionnelles. Les rapports de Kinsey ont fabriqué de toutes pièces la fausse justification scientifique d’un gigantesque changement social comportant l’éradication de la moralité sexuelle judéo-chrétienne traditionnelle qui consolide la famille nucléaire [23] et son remplacement par la promotion de l’hédonisme sexuel. Les multiples effets des travaux de Kinsey ont pour effet, pris ensemble, d’éroder les protections prévues pour les enfants et

de frayer la voie au Nouvel Ordre Mondial.


Il y a au moins un siècle que s’élabore ce programme, dont le succès dépendait du secret. Aujourd’hui encore, l’ampleur de ses ambitions n’est connue que de quelques-uns, tandis que beaucoup en doutent ouvertement. Peu avant son assassinat, le Président John Fitzgerald Kennedy avait pourtant essayé d’avertir le peuple américain des menées de cette cabale mondiale portée à la dissimulation :


« … nous devons faire face tout autour du monde à une conspiration massive et impitoyable qui s’appuie d’abord sur des moyens déguisés permettant le déploiement de sa sphère d’influence basée sur l’infiltration plutôt que sur l’invasion, utilisant la subversion plutôt que les élections et l’intimidation au lieu du libre-arbitre. C’est un système qui a nécessité énormément de ressources humaines et matérielles dans la construction d’une machine étroitement soudée et d’une efficacité remarquable. Cette machine combine des opérations militaires, diplomatiques, de renseignement économique, scientifique et politique, ses planifications sont occultées et non publiées. Ses erreurs sont passées sous silence et non relayées par la presse. Ses détracteurs sont réduits au silence et leur avis non sollicité. Aucune dépense n’est remise en question, aucun secret n’est révélé. Je sollicite votre aide dans l’immense tâche qui est d’informer et d’alerter le peuple américain. » [24]

Notes

  1. William Z. Foster (1932-2016). Toward Soviet America, Hauraki Publishing, Kindle Edition, p. 313.

  2. NdT (Wikipedia) : Mary Jane Ward (ou M. J. Ward), née en 1905 dans l’Indiana et décédée en 1981, était une musicienne et romancière américaine connue pour son roman « La Fosse aux serpents » (The Snake Pit) publié en 1946, puis devenu un film sous le même titre en 1948. Elle s’est mariée à vingt-huit ans à un statisticien. Elle souffrait de troubles psychotiques lorsqu’elle a été hospitalisée au Rockland State Hospital de New York en 1941.

  3. Opérations psychologiques…destinées à faire passer des informations et des indicateurs choisis à des publics dans le but d’influencer leurs émotions, leurs motifs, leur raisonnement objectif, de même que le comportement des gouvernements, organisations, groupes et individus.

  4. NdT : c’est-à-dire – outre la Fondation Rockefeller et l’Institut Kinsey – les grands laboratoires, les éditeurs de pornographie et les partisans de l’avortement.

  5. Dr Carol Vance (6 novembre 1998). Kinsey à cinquante ans [conférence]. Université de San Francisco, Californie, États-Unis. https://www.sfsu.edu/˜news/prsrelea/fy98/025.htm (lien à la conférence de presse en question). La déclaration du Dr Vance a été enregistrée par le Dr Reisman, présente. Note du traducteur : le lien indiqué par l’auteur est faux ou introuvable.

  6. Le terme « psychopathe » n’est pas une simple hyperbole. Il est employé ici dans son sens clinique. Des chercheurs universitaires tels que Robert Hare, Ph.D (1) et James Fallon, Ph.D (2), ainsi que des cliniciens médico-légaux ayant passé des années à étudier des psychopathes – soit incarcérés en isolement depuis longtemps, soit au sein de la population générale –, tel Jon K. Uhler (3), sont d’accord pour dire que la définition clinique d’un psychopathe revient à décrire quelqu’un dénué de conscience, d’empathie et de remords : (1) http://www.psychology-criminalbehavior-law.com/2015/01/hare-psychopath/ (2) https://www.crimetraveller.org/2015/07/inside-mind-of-psychopath-psychopathic-killer : (3) https://www.quora.com/Why-do-certain-psychologists-mix-up-cluster-B-traits-and-deem-the-combination-a-sociopath/answer/Jon-KUhler. Étant donné que Kinsey a choisi d’abuser sexuellement d’enfants, d’autoriser d’autres adultes déviants à abuser d’eux sous couleur d’expériences scientifiques, étant donné aussi qu’il a commis ou fait commettre ces actes sur un si grand nombre d’enfants sans jamais donner le moindre signe de remords ou de contrition, l’intéressé est manifestement à ranger dans la catégorie de la psychopathie. Dans la mesure où il tirait ensuite des « résultats » du « traitement » si diaboliquement abusif d’enfants, qui allait manifestement altérer la vie de ceux-ci de par les conséquences à long terme qu’il entraînait pour eux ; dans la mesure également où il avait le front de se servir de cela pour faire mine d’avoir accompli des recherches légitimes (alors qu’il avait en réalité violé et fait violer des enfants) pour faire croire à la prétendus sexualité de ses sujets et – par là même – façonner l’opinion publique, la politique publique et les décisions judiciaires au point d’influer sur législation des États et de l’Union ; tout cela révèle chez lui un esprit profondément psychopathe, arc-bouté sur la réalisation d’un programme visant à ce que la culture dévie vers l’acceptation générale de la sexualité enfantine ainsi que d’une théorie de l’amour mutuel et de l’expression sexuelle entre personnes d’âges indifférents. Après tout, ne nous dit-on pas que « L’amour est l’amour », « L’amour ignore les frontières » et « L’amour ignore les âges » ? https://www.growingbolder.com/love-has-no-age-3020496/

  7. Les termes « pédophile » et « pédéraste » servent à désigner quelqu’un qui désire violer et exploiter sexuellement des enfants ou qui va jusqu’à le faire ; le mot « pédophile » désigne pour sa part un adulte « amoureux des enfants » (d’après philia, mot grec signifiant amour ou, plus récemment, « ayant des sentiments amicaux envers… » : https://www.merriam-webster.com/dictionary/-philia. Fort des onze années et plus qu’il a passées à travailler comme clinicien médico-légal auprès de centaines d’adultes ayant abusé d’enfants, Jon Uhler note que la totalité de ces délinquants possédaient du matériel pédopornographique montrant des viols d’enfants et que 98% d’entre eux en diffusaient. Quiconque se sert d’enfants de façon sexuelle est cliniquement un psychopathe (ressentant une excitation en infligeant douleur et souffrance à ses victimes). Nous avons donc choisi d’être cliniquement précis en employant le terme « pédosadique » par opposition aux termes trompeurs « pédophile » et « pédéraste ».

  8. La date généralement indiquée pour la fondation du Tavistock Institute est 1947, mais les documents dont il sera question ci-dessous corrigent cette erreur.

  9. Une série de vidéos documentaires encore accessibles sur You Tube fournissent des informations de base sur ces groupes « bénévoles » formés par de puissantes élites et se disant objectifs et « sans agenda », par exemple le groupe Bilderberg https://www.youtube.com/watch?v=OF5xL63Pyfa (NdT : « vidéo non disponible », nous dit You Tube…) ; « Behind The Big News : Propaganda and the CFR » https://topdocumentaryfilms.com/behind-the-big-news-propaganda-and-the-cfr. Selon Carol Quigley, il s’agit là d’« un dispositif mondial de pouvoir financier qui se trouve dans des mains privées ayant les moyens de dominer le système politique de chaque pays et l’économie du monde entier. » (1996). L. 129. Macmillan Co. Autre documentaire sur le CFR : https://www.amazon.com/gp/video/detail/amzn1.dv.gti.64b1111e-f369-d278-bd04-7cb20094fcc5?ref_=imdbref_tt_wbr_pvs_piv&tag=imdbtag_tt_wbr_pvs_piv-20. Le Sénateur Barry Goldwater a écrit : « La Commission Trilatérale représente un effort adroit et coordonné de contrôler et de renforcer les quatre centres de pouvoir – politique, monétaire, intellectuel et ecclésiastique. » (1979). « With No Apologies ». https://www.youtube.com/watch?v=rHWrceNajf4; « Digging Deeper, Limits of Growth » ; https://www.youtube.com/watch?v=1SjPatMoQNc, ainsi que de multiples livres et vidéos sur toutes ces officines.

  10. NdT : en français dans le texte.

  11. NdT : haut lieu de la publicité à New York.

  12. Judith Reisman (2013), « Stolen Honour, stolen Innocence » (Honneur perdu, innocence perdue), pp. 37-40.

  13. NdT : l’auteur désigne ainsi la génération ayant fait et (ou) vécu la Deuxième Guerre mondiale.

  14. Susan Trento (1992). « THE POWER HOUSE : Robert Keith Gray dans the Selling of Access and Influence in Washington », St. Martin’s Press, pp. 193-200.

  15. Voir par exemple : Emanuel M. Josephson (2011), « Rockefeller “Internationalist” : The Man Who Misrules the World », Literary Licensing ; G. Edward Griffin (2010), « The Creature from Jekyll Island », American Media ; Gary Allen, Larry Abraham et John G. Schmitz (1972), « None Dare Call It Conspiracy », Concord Press.

  16. Daniel Estulin (2015), « The Tavistock Institute : Social Engineering the Masses », Trine Day LLC, p. 56. Voir aussi H. V. Dicks (2014), « Fifty Years of the Tavistock Clinic » (Psychological Revival), Routledge, pp. 76, 133.

  17. Rachel Wimpee (9 janvier 2020), « Rockefeller », https://resource.rockarch.org/story/funding-a-sexual-revolution-thekinsey-reports/

  18. Rapport sur le comportement sexuel de l’homme, pages 639 et 650 de la version originale en anglais.

  19. Institut Kinsey : https://kinseyinstitute.org/research/publications/kinsey-scale.php

  20. « L’opinion selon laquelle l’activité homosexuelle constitue la preuve d’une personnalité psychopathe est matériellement contredite par ces données d’incidence et de fréquence » (Rapport sur le comportement sexuel de l’homme, p. 660 de l’anglais).

  21. Les Drs Phyllis et Eberhard Kronhausen avaient pour but de libérer tout le monde de la répression sexuelle. En examinant deux cents étudiants de sexe masculin en 1960, ils ont constaté que l’étudiant moyen était généralement vierge. Drs Phyllis et Eberhard Kronhausen (1960), « Sex Histories of College Men », Ballantine Books, p. 219.

  22. Rapport sur le comportement sexuel de la femme, p. 451 de la version anglaise.

  23. The American Law Institute (2002) : « Family dissolution: Analysis and Recommandation ». Il s’agit là essentiellement d’un programme visant à dissoudre la famille et élaboré par des juristes certains d’être de grands esprits. https://www.all.org/publications/show/family-dissolution-analysis-and-recommandations Le Juge Scalia a déclaré qu’un point de vue juridique aussi nouveau ne devrait pas avoir « plus de poids quand à ce que doit être la loi que les recommandations de tout juriste ou universitaire respecté » https://verdict.justia.com/2016/06/20/increased-controversy-future-american-law-institute.

  24. Live Safely (9 mars 2011). « President John F. Kennedy Speech on Secret Society », 27 avril 1961. Trouvé sur You Tube le 10 août 2020 : https://www.youtube.com/watch?v=VvQ2FUwvcqw


Télécharger l'intégralité de l'article en français et en anglais



bottom of page