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Lettre aux citoyens

Dernière mise à jour : 8 juil.

1er septembre 2018


« Socrate : Faut-il croire que ce que nous disons est vrai, que la foule en convienne ou non, et que, quel que soit le sort, plus rigoureux encore ou plus doux qui nous est réservé, il n’en est pas moins certain que l’injustice dans tous les cas est pour celui qui la commet un mal et une honte ? L’affirmons-nous oui ou non ?

Criton : Nous l’affirmons.

Socrate : On ne doit donc jamais commettre l’injustice ?

Criton : Non assurément.

Socrate : On ne doit donc pas non plus répondre à l’injustice par l’injustice, puisqu’il n’est jamais permis d’être injuste.

Criton : Il est clair que non.

Socrate : Et faire du mal, Criton, le doit-on ou non ?

Criton : Non assurément, Socrate.

Socrate : Mais rendre le mal pour le mal, cela est-il juste ou injuste ?

Criton : Non, cela n’est pas juste.

Socrate : C’est qu’entre faire du mal aux gens et être injuste il n’y a pas de différence.

Criton : Tu dis vrai.

Socrate : Il ne faut donc pas répondre à l’injustice par l’injustice, ne faire du mal à aucun homme quoi qu’il nous fait. »

Platon, Criton, 49a—49c.


« Des actes de désobéissance civile interviennent lorsqu’un certain nombre de citoyens ont acquis la conviction que les mécanismes normaux de l’évolution ne fonctionnent plus ou que leurs réclamations ne seront pas entendues ou ne seront suivies d’aucun effet – ou encore, tout au contraire, lorsqu’ils croient possible de faire changer d’attitude un gouvernement qui s’est engagé dans une action dont la légalité et la constitutionnalité sont gravement mises en doute. […]
Il existe une différence essentielle entre le criminel qui prend soin de dissimuler à tous les regards ses actes répréhensibles et celui qui fait acte de désobéissance civile en défiant les autorités et s’institue lui-même porteur d’un autre droit. […]
Le délinquant de droit commun, même s’il appartient à une organisation criminelle, agit uniquement dans son propre intérêt ; il refuse de s’incliner devant la volonté du groupe, et ne cédera qu’à la violence des services chargés d’imposer le respect de la loi. Celui qui fait acte de désobéissance civile, tout en étant généralement en désaccord avec une majorité, agit au nom et en faveur d’un groupe particulier. Il lance un défi aux lois et à l’autorité établie à partir d’un désaccord fondamental, et non parce qu’il entend personnellement bénéficier d’un passe-droit. »
Hannah Arendt, La Désobéissance civile, 1972, tr. fr. Guy Durand, in Du mensonge à la violence, Paris, Pocket, 1994, p. 76 et p. 77.

Chers tous,

Depuis environ 2 ans maintenant, je travaille sur ce cambriolage sémantique que sont ces « droits sexuels », et cette « éducation sexuelle », dont j’ai pu démontrer l’imposture intellectuelle, en vue d’imposer aux peuples des nations du monde une idéologie résolument destructrice.

Je renvoie au résumé de mon travail, en annexe de cette lettre.

En préambule, je rappelle les origines, filiations, promoteurs et concepteurs des pseudos « droits sexuels » et « éducation sexuelle » :

J’ai démontré les paradoxes inhérents à cette escroquerie intellectuelle, le Droit visant à poser des limites aux pulsions, et non à les prôner ou les encourager, et l’éducation visant à canaliser les pulsions pour les transformer et les secondariser, et non à éduquer à une pulsion (sexuelle de surcroît).

J’ai toujours dit que je ne suis pas un leader. Je n’ai donc pas de mots d’ordre à vous donner pour des actions individuelles et collectives ; je transmets mes analyses et j’informe, ceci est déjà bien amplement chronophage et suffisant à mon humble niveau.

De plus, je dois vous informer que la censure est devenue extrêmement violente, à savoir : environ un tiers de mes posts facebook saute (selon les périodes), les posts sautent aussi chez ceux qui les partagent, des pages sont censurées, les désinformateurs (mensonges, y compris par omission, fausses informations, approximations) pullulent, ainsi que les diffamateurs. Cette censure et cette désinformation ne proviennent pas nécessairement d’une institution, mais sont aussi entretenues par tout un chacun, dans un système où les passions s’emballent, les rumeurs s’enflamment, et les clans se forment.

Pour information, voici ma réponse aux diffamations et à quelques allégations erronées me concernant (je ne peux malheureusement pas toutes les référencer !) :

Je suis en cours de dépôt de plainte contre certains diffamateurs principaux à mon encontre ; des constats d’huissier sont en réalisation.

Sachez que je reçois quotidiennement des messages d’insultes, ou des messages de gens prétendument informés et qui m’attribuent des propos que je n’ai jamais tenus (par exemple, j’aurais traité les enseignants de « pédophiles » : à quel endroit ai-je dit cela ? et ce, alors que je ne fais que donner des messages de discernement relatifs aux enseignants, précisément, afin qu’ils ne soient pas amalgamés de façon erronée à des programmes qui ne concernent pas officiellement l’Éducation Nationale en filiation directe), ou encore des messages de pressions, et des menaces. Mon nom se retrouve associé à des actions que je n’ai jamais prônées, et parfois desquelles je ne suis pas au courant ; mes vidéos reprises sur des supports que je ne cautionne pas personnellement.

Ma chaîne youtube est régulièrement bloquée dans le nombre de vues, et certaines vidéos subissent un hacking sur le nombre de likes/dislikes.

Cet été, j’ai subi plusieurs tentatives d’hacking, de mes mails, de mon compte Facebook, de mon site internet etc. J’ai de la chance d’être plutôt bien entourée pour les questions informatiques, mais c’est un hasard, je ne suis qu’une professionnelle psychologue sans aucun moyen ni structure, ni financements, soyez-en conscients, aussi je ne peux pas m’investir au-delà du possible sur le sujet, c’est à vous d’informer et de prendre la relève.

L’on peut tout de même s’étonner de telles réactions, pour une page Facebook qui compte environ 4000 abonnés, et une chaîne youtube qui en compte moins de 3000, sinon pour faire taire mes analyses et leur divulgation.

Certains me demandent toujours encore plus, je dois faire ceci, ou cela… eh bien non, j’estime avoir fait ce que ma conscience professionnelle et humaine m’indiquait de faire, je le paie très cher, je ne sauverai pas le monde, c’est chacun qui se sauvera et doit prendre ses responsabilités désormais.

C’est dans cet état d’esprit que néanmoins, face à la multitude d’actions qui vous sont conseillées sur internet, je vais donner mon point de vue, qui ne représente que ma propre sensibilité, en vous rappelant bien que c’est à vous de choisir ce qui vous parle, et fait sens pour vous.

Je n’ai pas de mot d’ordres à vous donner, encore une fois, sinon celui de rester des êtres humains de conscience, capables de désobéir si nécessaire, pour protéger les enfants d’une idéologie meurtrière de sexualisation et d’opérations chirurgicales précoces « dès le plus jeune âge », ou « dès 0 an », ou encore « dès la naissance », pour reprendre le phrasé de ces textes.

Je ne m’adresse ainsi pas qu’aux parents ni aux professeurs, mais à tout citoyen de conscience capable encore de vibrer en humanité, et en rappelant que je ne suis ni leader d’opinion ni leader d’action, et que c’est bien à chacun de se déterminer en son âme et conscience.

Appel à la concorde

En préambule, je souhaite souligner combien il est difficile de s’y retrouver à l’heure actuelle, entre les approximations et les désinformations massives qui sont diffusées de part et d’autre sur internet.

Il est aujourd’hui essentiel que quiconque a à cœur la protection de l’enfance s’informe correctement sur le projet de sexualisation précoce des enfants et apprenne à discerner le bon grain de l’ivraie en ne confondant pas les intentions affichées par ces programmes, avec les résultats pernicieux qui ne manqueront pas d’être obtenus par de telles pratiques et qui sont déjà connus des véritables professionnels spécialistes de l’enfance et de la famille (voir https://proscontreeducsex.wordpress.com).

Que chacun vérifie systématiquement par lui-même les assertions des uns et des autres, quand bien même il leur ferait confiance a priori. Car les amalgames, les approximations et les rumeurs ne manquent pas. Par exemple, il n’est pas difficile de vérifier que les « Standards pour l’éducation sexuelle en Europe » concernent toute l’Europe, et non pas que la Suisse, contrairement à des propos diffusés au sein des directeurs d’école eux-mêmes, et aussi que ce document est toujours d’actualité et en déploiement dans tous les pays d’Europe.

Le rassemblement de citoyens conscients et informés doit s’opérer indépendamment des opinions politiques, religieuses, des incompatibilités de caractère, des rancunes ou ressentiments personnels de chacun… tout ceci se traitera plus tard et en second lieu, me semble-t-il.

De plus, des campagnes de calomnie et de désinformation ont régulièrement lieu sur des lanceurs d’alerte, mais aussi de la part de pseudo lanceurs d’alerte. Il est impératif aujourd’hui de ne pas relayer de calomnies, et de se concentrer uniquement sur la mise en lumière de cette idéologie meurtrière, ainsi que sur l’information précise, la transmission et la protection des enfants face à la sexualisation précoce de masse imposée par différents lobbies infiltrés de partout, et fonctionnant de façon sectaire.

Je ne soutiendrai pour ma part aucune méthode ni aucune action ni aucun “leader” qui justifie que la fin justifie les moyens (enregistrements privés à l’insu des personnes, calomnies publiques etc.)

Je rappelle que nous avons affaire à une idéologie pédophile (une croyance érigée en certitudes, prônant et banalisant la sexualisation de l’enfant sous des projections adultes).

Par ailleurs, et face à l’émergence de concepts tels que « la pédophilie comme orientation sexuelle », ou « le pédophile abstinent », je voudrais rappeler l’importance de ce que tout un courant psychanalytique dénonçant les traumatismes infantiles nomme l’incestuel et le meurtriel (cf. P.C. Racamier, puis J.P. Caillot), à savoir des ambiances perverses particulièrement délétères pour le psychisme.

Il n’est donc pas besoin de passages à l’acte spectaculaires ni de crimes avérés pour que la confusion perverse régnante de cette idéologie projetant l’enfant comme « sexualisé » dès la naissance et apte à un consentement sexuel « selon ses capacités évolutives » commette des dégâts irréversibles sur le psychisme de chacun, et plus généralement, sur l’évolution psychique de la société toute entière.

J’appelle donc, et quels que soient les passifs, à ne relayer aucune calomnie sur les uns et les autres mais à concentrer uniquement son énergie sur le dévoilement, la transmission et l’organisation de la résistance contre la sexualisation précoce des enfants insufflée par l’OMS, et suivie par notre gouvernement.

Il est impératif aujourd’hui de ne pas propager des discours de désunion et de discorde, qui sont tout sauf constructifs.

Enfin, et s’il est bien sûr essentiel de défendre les enfants, il me paraît fondamental de cesser de diffuser des images de maltraitances d’enfants, d’enfants sexualisés dans leurs paroles, postures et poses, parfois dits transgenres ou drag-queens, d’enfants embrassant sur la bouche des adultes ou spectateurs de spectacles sexualisés et exhibitionnistes de la part d’adultes etc., car diffuser les images participent aussi d’un conditionnement mental visant à une acceptation progressive par notre cerveau de ce qui doit rester absolument tabou pour construire une civilisation.

La mise en lumière est primordiale, mais en diffusant des images respectueuses de l’enfance.


Sur la désinformation

Nous assistons à une désinformation de masse, tant du côté de ceux qui se disent « contre » cette imposture, que de ceux qui se disent « pour ».

Il est donc essentiel de faire la part des choses, et de revenir aux sources, qui ne sont ni les médias, ni les informateurs/désinformateurs, mais : les textes officiels, accessibles à tous, pourvu que l’on prenne la peine de les chercher, de les lire et d’apprécier leurs ramifications, certes complexes (bibliographies, références etc.).

Mon livre est en ce sens une aide, puisqu’il référence les principaux textes problématiques (et il existe une multitude d’autres textes, diffusant la même idéologie de l’enfant « sexualisé » qu’il convient d’initier au « plaisir » sexuel ou « sensations sexuelles » – sexual feelings en anglais dans les textes de l’OMS, pour les enfants de 4-6 ans -).

Ce qui est sûr, c’est que l’information qui vous est diffusée est souvent partielle, tronquée, voire mensongère du côté des médias officiels, par exemple cet article de 20 minutes, qui ressort régulièrement sur Facebook

Voici deux réponses de professionnels, qui n’ont jamais été publiées par ledit journal :

Réponse du Professeur de pédopsychiatrie Maurice Berger :

Des médias officiels ont systématiquement censuré le contradictoire, dans les messages des internautes et dans les réponses qui leur ont été effectuées. Parfois, seulement une partie de l’information vous est diffusée, lorsque l’autre est occultée (ex. : « non, la loi Schiappa ne prévoit pas des cours d’éducation sexuelle » : ceci est vrai, ce n’est pas la loi Schiappa qui les prévoit. Mais pourquoi occulter le fait que l’information « dès le plus jeune âge » sur « l’éducation sexuelle » et « les droits sexuels » est prévue par ailleurs, et de différentes façons, et notamment en provenance du Ministère de la Santé ?). D’autres médias vous diront que les documents des « Standards pour l’éducation sexuelle en Europe » sont « sortis de leur contexte », sans vous informer néanmoins du réel contexte dans lesquels ces documents sont produits, de leurs références bibliographiques et de leurs origines !

Les journalistes devraient s’insurger contre de telles pratiques.

Évidemment, encore une fois, la méthode de dévoilement et d’analyse à adopter dans le système paranoïaque est de revenir aux origines… par exemple, quelle est la ligne idéologique de tel ou tel journal ? Lorsque l’on découvre que des organes de presse, censés être « indépendants », ont eux-mêmes pris des positions historiques dans des articles faisant l’apologie de la pédophilie, l’on comprend mieux les partis pris adoptés.


Message dédié particulièrement aux professeurs

J’ai été beaucoup agressée par des professeurs et des enseignants.


Je vais donc rappeler exactement quel est mon propos, qui n’a jamais varié, mais dire aussi à quel point je trouve gravissime, de la part de certains membres du corps enseignant, de ne pas s’informer au préalable sur l’étendue de mon travail, avant de me jeter la pierre, de conclure que ce sont « des mensonges », et de considérer, pour certains, que leur petite expérience personnelle suffit à inférer l’universel (« je ne suis pas au courant » = « ça n’existe pas », ou encore « j’ai assisté à un cours, cela ne disait pas cela » = « tous les cours sont ainsi »). C’est même une erreur de raisonnement logique extrêmement préoccupante pour des enseignants.


Je souhaite en revanche remercier ici tous les enseignants qui ont fait l’effort de s’informer, et me soutiennent, souvent parmi mes meilleurs soutiens.

Il n’y a pas de programme « d’éducation sexuelle » de l’Éducation Nationale car cela n’émane pas de l’Éducation Nationale, mais l’EN donne son autorisation au Ministère de la Santé pour rentrer dans les écoles.

D’ailleurs cela ne concerne pas que les écoles mais toutes les structures socialisantes infantiles de France… pour un programme dit « holistique », et qui plus généralement, est international.


Ces « programmes » concernent bien aussi la France, et émanent bien des « Standards pour l’éducation sexuelle en Europe », et donc, de l’OMS. Des conseils de mise en œuvre, fondés sur des assertions pseudo-scientifiques jamais démontrées ni validées par la communauté scientifique internationale des professionnels du psychisme de l’enfant (Document Pdf), illustrant encore une fois l’imposture intellectuelle de cette idéologie, sont proposés ici, pour une « éducation sexuelle » dite « holistique » et « indépendante ».


Sur les actions

Quelles actions sont possibles ?

Je vais recenser les actions généralement préconisées, celles que vous pouvez choisir de mener, ou non, en votre âme et conscience, et donner mon point de vue singulier, qui reste personnel, et n’a pas vocation de mot d’ordre et encore moins d’incitation à telle ou telle action.

Pétition

Du côté des professionnels psychiatres et psychologues de l’enfance, une pétition a été lancée.

Je fais partie des premiers signataires, cette pétition a notamment le mérite de faire ressortir le nombre de professionnels de l’enfance et de la santé en désaccord avec cette idéologie.

Néanmoins, comme pour toutes les pétitions, l’on peut douter du succès de cette dernière, quand bien même elle serait signée en grand nombre, et craindre qu’elle ne serve surtout qu’à lister des noms d’opposants.

J’incite tout de même les professionnels de France à manifester en grand nombre leur désaccord au travers de cette pétition.


Manifestation

Certains appellent à manifester.

L’on peut souligner l’effort rassembleur et courageux de ces personnes, car il est nécessaire effectivement de rappeler que la protection de l’enfance concerne l’ensemble des citoyens, indépendamment de leurs opinions religieuses et politiques (leur choix de sexualité adulte étant intime, il ne nous concerne pas, et je dénonce d’ailleurs ici ce clivage opéré entre les « homosexuels » et les « hétérosexuels », comme si ce que l’on faisait au lit entre adultes consentants avait quelque chose à voir avec une identité politique. C’est intime, et cela doit rester intime).

La manifestation citoyenne me semble une idée intéressante pour faire connaître le problème à davantage de personnes, et rassembler une résistance, néanmoins pour ma part j’ai toujours pensé qu’une manifestation ne sert pas à grand-chose (raison pour laquelle je n’ai jamais appelé à manifester et je ne manifeste pas), je me méfie des groupements en général, et dans le cas présent, il n’existe pas de déclaration nationale pour cette manifestation, c’est donc à chacun dans son département de s’assurer que la demande en Préfecture a été réalisée, ou de la réaliser soi-même.

Si ce n’est pas le cas, et si vous ne faites pas vous-même la déclaration en Préfecture, alors l’État a toute légitimité pour intervenir sur la voie publique, avec des risques d’infiltration, d’instrumentalisation et de violence à ne pas négliger.

Dans ce cas, si vous souhaitez tout de même vous y rendre malgré l’absence de déclaration en Préfecture, il me semble que les enfants doivent absolument être mis à l’abri de débordements potentiels.

Par ailleurs, et même si le rassemblement des citoyens semble important pour protéger les enfants, certains appellent au désordre, or il me paraît essentiel de ne pas appeler au désordre pour le désordre, car ensuite qui vous aidera ?

La colère ne me paraît pas une bonne conseillère dans ces situations, et je vous dissuade d’écouter tout leader de bazar vous entraînant dans la violence ou le chaos.

Le risque général, entre la désinformation régnante sur les réseaux sociaux (approximations, fausses informations diffusées au milieu des vraies), les manipulations et des infiltrations violentes, est évidemment de décrédibiliser complètement le sujet, qui est grave et sérieux.

Déscolarisation/Instruction des enfants

J’ai moi-même appelé les parents qui le peuvent à s’organiser pour délivrer une instruction à domicile.

Il suffit de comparer les épreuves du certificat d’études des années 1930 avec le niveau des élèves aujourd’hui au même âge (et pire, les enseignements sur le sexe qui se profilent au même âge), pour identifier, sans plus l’ombre d’un doute, la chute vertigineuse de niveau orchestrée par les différentes politiques passées, et qui ne peut que les servir, si l’on s’en réfère aux analyses d’Huxley. Il est donc important de chercher des professeurs de qualité, ou des parents ayant davantage d’érudition, pour transmettre un maximum de connaissances et de savoirs aux enfants, à commencer par un solide apprentissage de la lecture et de l’écriture, y compris en matière calligraphique.


En disant cela, je ne souscris en aucune façon à des appels visant à retirer les enfants des écoles, sans s’assurer au préalable d’un cadre légal d’instruction scolaire (à domicile, dans des écoles alternatives constituées etc.).

Retirer les enfants des écoles sans justifier de leur délivrer l’instruction obligatoire conduira tous les parents ayant choisi cette option à de graves représailles, face auxquelles ils seront laissés seuls pour se défendre.


Je suis absolument opposée à mettre davantage en danger les enfants, car pour moi la fin ne justifie jamais les moyens.

Plusieurs types de mesures peuvent être prises : retirer les enfants des écoles publiques et des écoles sous contrat avec la République, oui, mais dans la seule mesure où les enfants sont instruits dans des écoles privées hors contrat, ou à domicile, de façon structurée et déclarée.

Pour l’instruction en famille (IEF), ou le homeschooling, sachez qu’il existe des associations susceptibles de vous aider et de vous soutenir dans vos démarches, n’hésitez pas à les contacter (faites des recherches sur internet, regardez dans votre département), pour ne pas rester seuls et profiter de leur expérience.

Il existe aussi des bibliographies qui peuvent vous aider.

Rassemblement des parents par départements et autres actions possibles

D’autres actions sont possibles, à savoir :

Vous rassembler entre citoyens et parents conscients et soucieux de la protection de l’enfance pour prévoir des actions locales de soutiens, d’informations et d’alertes, telles que réaliser des tracts ou diffuser des tracts existants qui vous paraissent sérieux, informer les professionnels de santé, les éducateurs et pédagogues, les enseignants, les directeurs d’établissement et les parents d’élèves mais à partir de références solides et éprouvées (vous pouvez offrir mon livre par exemple !).

Je rappelle qu’il s’agit d’une infiltration idéologique, et qu’elle concerne toutes les structures socialisantes de France (et pas que les écoles), via le Ministère de la Santé.

Également, voici les conseils de professionnels psychologues de l’enfance et pédopsychiatres, pour les écoles:

  • « Vous pouvez demander qu’on vous fournisse des études scientifiques démontrant les effets positifs de ce type d’éducation (à notre connaissance, il n’y en a pas qui soient valables, et nous serions curieux de lire celles qui existent).

  • Vous pouvez alors questionner sur le matériel « pédagogique » qui sera utilisé. Un film, Le « miracle de la vie » de Lennart Nilsson, a été passé dans des classes de CM2, et il montre un pénis éjaculer dans le vagin d’une femme filmé par micro-caméra et un accouchement avec vue sur le périnée de la femme. Les films de la série « Le bonheur de la vie » comprennent un dessin animé montrant un personnage enfantin féminin caresser le sexe d’un personnage masculin pour lui provoquer une érection en expliquant que le pénis doit être en érection pour permettre la pénétration dans le vagin (passage à 1mn39). Vous pouvez demander à voir ces documents plusieurs jours avant le cours, vous constaterez ainsi s’il n’y a « rien à cacher ».

  • Vous pouvez à cette occasion indiquer vos limites d’acceptation sur cette question.

  • Vous pouvez exiger de connaître les jours où ces cours auront lieu et leur contenu exact. Les « techniques » habituelles pour éviter les protestations des parents consistent à ne pas les informer, ou à inscrire « activités diverses » sur l’emploi du temps, à mentir sur leur contenu (« on va parler de la reproduction animale », ou « l’infirmière va vérifier le carnet de vaccinations », ou « ne vous inquiétez pas il n’y aura aucune image choquante » alors qu’en réalité on montre un accouchement, et une éjaculation dans un vagin), ou à prévenir les parents la veille afin qu’ils ne puissent pas s’organiser dans leur vie quotidienne au cas où ils prendraient la décision de s’opposer à la présence de leur enfant à ces cours, ou à mettre ces cours début juillet, juste avant les vacances pour que les parents ne puissent pas exprimer ensuite leurs protestations, etc. Une multitude de moyens existent pour vous mettre devant le fait accompli, ce qui est contraire à la circulaire 2003-027 du 17 février 2003 indiquant que « les parents d’élèves doivent être informés et/ou associés au projet éducatif (voir sur le site pour plus de détails). En cas de litige avec l’institution scolaire, par exemple pour un manquement à son devoir d’information, vous avez la possibilité de porter plainte devant le tribunal administratif (voir les recours possibles sur le site).

  • Surtout, inscrivez-vous massivement dans les instances représentatives de parents d’élèves afin de pouvoir informer les autres parents et apporter votre critique lorsque ces cours seront discutés dans les réunions parents/enseignants.

  • Si votre enfant présente des troubles suite à cet enseignement (cauchemars, difficulté d’endormissement, refus de retourner à l’école, ou autres), faites-les constater rapidement par un médecin et demandez un certificat descriptif.

  • Comme dans le témoignage ci-dessus, on risque de dire à votre enfant qu’il sera interrogé sur le cours d’éducation sexuelle et qu’il aura peut-être une mauvaise note dans cette matière…, prix de sa protection par vous.

  • Pour que vous soyez moins seuls, vous pouvez tenter de vous regrouper par villes sur notre forum qui permet de communiquer uniquement par message privé avec les autres membres. Vous pouvez vous inscrire sur le lien suivant : http://contreeducsex.kanak.fr/login »

Actions Juridiques

Les « droits sexuels » relevant d’une idéologie destructrice imposée par-delà le Droit, l’on m’a suggéré des actions juridiques possibles à mettre en œuvre de la part des citoyens. Je rappelle que je ne suis pas juriste, aussi chacun peut faire son propre travail d’investigation de son côté et vérifier la pertinence de ces assertions.

Du fait que ces « droits sexuels » ne sont pas des droits au sens juridique du terme, il n’y a pas d’article de loi les rendant donc obligatoires. Ils sont en somme imposés illégalement, par des groupes (associations, SIECUS, IPPF…), bien que repris par l’OMS puis les ministères de la santé, et ce, par des directives unilatérales.

Ainsi, l’État pourrait ouvrir une enquête afin de comprendre pourquoi lesdites institutions se prennent le droit d’imposer des choses illégalement.

Je sais que beaucoup d’entre vous n’ont plus aucune confiance en la justice française, et à juste titre, mais pourquoi ne pas mettre une action citoyenne aussi à cet endroit, et que perd-on à le faire, de façon cumulative avec d’autres actions ?

La piste ne me semble pas à exclure.

D’après les conseils de juristes, chaque parent pourrait ainsi individuellement adresser une plainte auprès du Procureur au sens de l’article 222-32 du code pénal en vue d’une exhibition sexuelle à l’école et de la grave mise en danger des enfants.

La plainte serait à déposer contre X, car il ne faudrait pas que l’État récuse sa responsabilité.

Il y a plusieurs « responsables » à investiguer.

Ce dépôt de plainte doit être un maximum motivé par des preuves matérielles.

Une mise en demeure pourrait être adressée à chaque directeur d’établissement sur le même motif.

Il n’y a aucun « droit sexuel », ce sophisme utilisé ne sert qu’à manipuler la masse de la part de certains politiques, certaines associations et certains lanceurs d’alerte, qui en réalité n’en sont pas, et en font également, dans les faits, la promotion. La riposte peut aussi se passer sur un plan juridique, même si la justice est dysfonctionnelle aujourd’hui et quand bien même l’état de droit serait aujourd’hui paralysé.

En résumé, ce qu’il conviendrait de faire pour ceux qui le souhaitent (et encore une fois, prenez également le temps de votre côté de vérifier ces conseils) :

1) faire un dépôt de plainte auprès du Procureur au sens de l’article 222-32 du Code Pénal – exhibitions sexuelles (avec preuves matérielles à l’appui, cf. par exemple certains supports pédagogiques).

2) mettre en demeure (par huissier ce serait bien – sommation interpellative -) à cet effet chaque directeur d’établissement.

Il y a sans doute encore d’autres pistes juridiques à explorer, pour ceux auxquels cette option parlerait.


Désobéissance civile

J’incite les intellectuels, les professeurs, les éducateurs, les universitaires, les professionnels de la santé mentale de l’enfance et du traumatisme, les personnes ayant un peu de notoriété, à prendre connaissance en profondeur de mon travail, et à exprimer des positions publiques claires sur le sujet de la sexualisation précoce des enfants, et sur cette imposture intellectuelle que sont ces « droits sexuels », et cette « éducation sexuelle » (en dépit des quelques jolis modules de prévention qui servent de vernis, comme déjà expliqué par ailleurs).

J’en appelle pour ma part à une désobéissance civile des citoyens (dont les enseignants) qui ne mette surtout pas en danger les enfants et au contraire, vise à tout faire pour les protéger face à la sexualisation précoce (par voie de « supports pédagogiques », « d’enseignements », « d’éducation » etc.). Soyez prudents, également, inutile de se mettre en danger pour se mettre en danger.


Cette désobéissance civile, par essence non-violente, doit se passer de leaders d’opinion et d’action, s’initier depuis votre conscience personnelle et votre propre créativité, et s’organiser en petits groupes de façon locale, sans viser un mouvement unifié en national qui serait rapidement infiltré et sévèrement réprimé, en raison du rapport de force inégal entre la violence de l’État et la contestation actuelle des citoyens (ainsi que le nombre de citoyens informés et conscients du problème). De plus, je condamne toute forme de violence et d’appel à la violence.

Dans cet état d’esprit, rappelez-vous qu’Hannah Arendt prônait l’initiative individuelle, la seule à faire trembler les processus totalitaires, car elle n’est pas prévisible, n’est pas contrôlable, et ne peut donc être facilement contrée ou encore victime de représailles, surtout si elle agit depuis différents endroits en France, qui ne se seront pas concertés ensemble (donc ne peuvent être infiltrés ou en tout cas, plus difficilement). Pour ceux qui s’illusionnent encore sur l’absence de procédés totalitaires dans cette affaire, je leur suggèrerais juste de prendre le temps de vérifier par eux-mêmes la véracité de mes propos.

Résister, ce n’est donc pas que dénoncer dans la colère, car pour faire quoi ensuite ?

De plus, il s’agit de dévoiler l’imposture d’une idéologie, ce qui se fait sur le terrain des idées, de la conviction, des arguments, chaque jour, partout, dans tous les espaces publics, par chaque citoyen. Une idéologie destructrice qui opère par contagion, comme dans le système paranoïaque dont j’ai déjà analysé les modalités.

Par exemple, comment puis-je régulièrement être agressée par des pseudo-féministes qui ne voient pas le problème d’éduquer « sexuellement » précocement les enfants au « plaisir sexuel » et au « consentement » (au nom d’un nouveau concept : « la justice intime », ou « le droit à l’orgasme » pour les femmes), et dans le même temps luttent contre le consentement des mineurs en matière sexuelle ? Tout ceci est un contre-sens absolu, relève de propos éminemment paradoxaux.

Il faut d’abord penser à transmettre le meilleur de nous-même aux enfants qui nous entourent, et c’est cela aussi qui construira le monde de demain. Mettez en route par vous-même ce qui vous paraît juste, à un niveau local, sans attendre de permissions.

Montrez l’exemple dans l’éducation et l’instruction solides des enfants, loin des formatages, c’est aussi résister.

Résister, c’est créer.

Créer, c’est résister.

En conclusion

Nous sommes la révolution des enfants !

Les enfants veulent pouvoir jouer en toute innocence, et être protégés le plus longtemps de la violence de notre société folle qui, non seulement n’est pas capable de donner l’exemple (or, les enfants apprennent avant toute chose en imitant), ni de les protéger, mais en prime les incitent à mûrir encore et toujours plus vite, comme un fruit gâté avant l’heure.

Je pense que c’est la somme cumulée d’actions locales de désobéissance civile de chacun, comme autant de grains de sable, ne mettant pas en danger les enfants, qui est à privilégier.

Je vous rappelle de n’écouter que ce que je dis personnellement, et non les propos que l’on m’attribue, et vous incite à vous inscrire à cette newsletter, pour le cas où ma page Facebook sauterait. Je vous incite à sauvegarder mes vidéos sur youtube, et à les diffuser comme bon vous semble. Je vous invite enfin à vous procurer mon livre, à l’offrir, à archiver ceux de mes posts qui vous paraissent pertinents, ainsi qu’à archiver de la manière la plus importante possible toute l’information sur internet que vous désirez conserver, pour pouvoir la retransmettre à nouveau de votre place, si jamais la censure s’intensifiait.


Pour ma part, vous me retrouverez chez Ana Exploratrice le 11 septembre à 18h pour un live intitulé « La solution au Meilleur des Mondes » :

Ou en sommes-nous par rapport au roman d’Aldous Huxley et quelles sont les solutions glissées entre les lignes ?

Une vision singulière, qui n’est pas un mot d’ordre d’action, mais surtout des solutions disponibles, à chacun et maintenant.

Merci à vous tous pour votre soutien, et bon courage pour la suite.

Et pour finir, une petite parodie à sauvegarder (merci à son auteur !), télécharger comme bon vous semble et faire circuler :

Ariane Bilheran normalienne, psychologue clinicienne, docteur en psychopathologie, auteur du livre L’imposture des droits sexuels.



 

ANNEXE : RAPPEL

NOUVELLE ACTUALISATION


Chers tous,

A l’heure où la propagande de masse introduit la notion perverse de “l’enfant sexualisé”, potentiellement “consentant” à avoir des rapports sexuels avec un adulte, il est temps de faire un petit bilan de mon action de ces six derniers mois.

Mais avant, je rappelle qu’enfant provient de « infans » qui signifie : qui n’est pas en capacité de parler (en conscience).

Donc un enfant n’a pas de libre-arbitre, n’est pas responsable mais vulnérable, et il ne peut donc pas donner son consentement.

Par ailleurs il n’est pas en maturité psychologique, biologique et émotionnelle d’avoir un rapport sexuel, et il est sous l’influence et la domination de l’adulte.

Donc soit l’adulte le protège, soit il en abuse.

C’est aussi simple que cela.

Et protéger cela veut dire protéger son innocence.

Innocence signifie, étymologiquement, à qui l’on ne doit pas nuire.

Que l’adulte projette en plus que l’enfant serait consentant à ce qui le transgresse par définition, de par son statut même d’enfant, est : pervers.

Et confondre les générations c’est : pervers et psychotique.

J’ai beaucoup donné de ma personne depuis un an, date à laquelle (en octobre 2016) j’ai découvert ce qu’étaient les “droits sexuels”, avant de me mettre à étudier en profondeur les textes internationaux, pour certains en trois langues, textes qui nous sont désormais imposés par l’idéologie dominante, l’OMS et différents lobbies, dans le silence complice des médias.

En mars 2017, j’ai publié mon livre à compte d’auteur, pour conserver mon indépendance, et ne pas céder mes droits d’auteur.

J’ai publié un article résumant le faux raisonnement soutenant cette nouvelle idéologie des « droits sexuels » :

Le 29 mars 2017, la journaliste d’investigation Ceri, après recherches suite à mon livre, a publié un article intitulé « Quand l’éducation sexuelle et les droits sexuels zappent la protection des mineurs ».

Le 30 mars 2017, j’ai lancé une vidéo présentant mon livre, je ne m’attendais pas du tout au succès qu’elle rencontrerait, et j’ai découvert après coup, qu’il s’agissait de la date de lancement du grand plan “stratégie sexuelle” du ministère de la santé en France, grand plan comprenant “l’éducation sexuelle” dès la maternelle, “éducation sexuelle” qui est un des axes importants de la promotion idéologique des “droits sexuels”.

Ce succès des vues et partages sur Facebook a été due à l’implication généreuse d’une citoyenne impliquée dans la dénonciation des « droits sexuels » Être en Liberté II qui a accepté de relayer la vidéo sur sa page de l’époque qui lui a été piratée récemment.

Suite à cette vidéo, j’ai rencontré des aides généreuses, conscientes et humanistes, en traduction, en montage, pour diffuser davantage le message :

Parallèlement, j’ai alerté mes collègues psychologues et pédopsychiatres, ce qui a donné lieu à la création d’un collectif de professionnels, sonnant l’alerte, aujourd’hui visible ici

J’ai subi différentes attaques, insultes, calomnies, tentatives de manipulation, d’infiltrations, de détournement, je vous en passe, mais tout ceci fut éprouvant, même si j’avais bien conscience qu’en dévoilant le problème, je n’allais pas me faire des amis et qu’il me faudrait un certain courage pour affronter la tempête…

Des soutiens m’ont rejointe ainsi que d’autres collègues, après avoir sérieusement pris connaissance du problème, et se sont inscrits pour certains courageux en premiers signataires de la pétition

Des citoyens conscients ont diffusé l’information, d’autres ont réalisé leurs propres vidéos, alertes etc.

Beaucoup de gens ont malheureusement gardé un silence coupable, se maintenant dans l’ignorance ou le déni, sans compter ceux qui, sans se renseigner, ni prendre la peine de lire les textes à la racine, ou mon travail, ont déversé leur idéologie scientiste ou m’ont calomniée (extrême-droite, etc.), contribuant ainsi à désinformer la population (quand ils ne sont pas payés pour le faire).

Le 26 avril 2017, j’ai publié la vidéo expliquant le texte de l’OMS intitulé “Standards pour l’éducation sexuelle en Europe.

Là encore, les aides en traduction et en montage sont intervenues.


J’ai travaillé activement aux côtés des professionnels, avec des aides de personnes impliquées, de citoyens et d’humanistes, visibles ou non, qui ont permis qu’un site internet voie le jour, avec un communiqué de presse, une diffusion internet, des alertes etc., durant plusieurs mois.

Nous avons reçu des témoignages très préoccupants, sur ce qui se mettait en place.

J’ai alerté plusieurs militants de protection de l’enfance, des associations, des journalistes, nombreux. Je regrette que ces derniers aient conservé un silence des plus coupables sur la question…

Le 11 mai 2017, la journaliste Ceri, après investigations plus poussées, a publié un article intitulé “à l’origine des concepts de “droits sexuels” et “d’éducation sexuelle”.

J’ai alerté des penseurs sur les manipulations de masse, qui s’en sont saisis pour étudier le problème.

J’ai alerté des partis et des militants politiques.

Et François Asselineau s’est prononcé contre “l’éducation à la sexualité” à l’école, en rappelant bien que derrière tout cela il y a une idéologie, sur laquelle si, il faudrait s’étendre justement :

Durant l’été 2017 je suis sortie du « collectif des pros contre l’éducation sexuelle », après un travail colossal effectué, et en octobre j’ai démissionné du REPPEA.

J’ai diffusé des revues de presse régulières sur ma page Facebook, répondant avec patience, sur mon temps libre, à toutes les questions, intervenant parfois sur d’autres pages pour rectifier des informations erronées ou incomplètes, devant faire face à des commentaires injurieux, insultants, mensongers.

Début juillet, j’ai donné une interview pour Charles Marsan au Québec

Fin juillet j’ai donné une interview pour Marc Gray

En août j’ai donné une interview pour Farida Belghoul et Guillaume Helye

En septembre, est parue une interview pour Alexis des Sentiers du Réel

La journaliste Ceri a fait paraître la traduction d’un article intitulé “Alfred Kinsey ou les prémices de l’agenda pédophile”

Là encore, je remercie les traducteurs bénévoles qui donnent de leur temps pour aider à faire prendre conscience de ce qu’est une infiltration idéologique, la France étant aussi isolée par le faible niveau des français en anglais, ce qui ne leur donne pas accès à l’ensemble de l’information (traduction de vidéos de Reisman, d’articles etc.). De la même façon, les traductions en anglais ou espagnol de mes vidéos et d’autres sont nécessaires pour créer une résistance internationale.

Merci également aux monteurs bénévoles de vidéos (coupes, montages, sous-titrages etc.)… à toutes ces personnes fabuleuses de la société populaire qui ont pris conscience du danger pour les enfants et pour notre humanité future, et s’investissent bénévolement (localement, sur internet, retranscriptions des vidéos etc.).

D’autres supports en français existent, dans d’autres pays, pour sonner l’alerte et les dangers de “l’éducation sexuelle” notamment ici : https://initiative-de-protection.ch

Mais encore d’autres émissions de radio :

J’ai donné mes préconisations sur les mesures sanitaires d’urgence à prendre, ceux qui trouvent que c’est une réponse excessive n’ont effectivement rien compris à la problématique ou n’en voient que le petit bout de la lorgnette :

J’ai expliqué pourquoi la sexualité était un thème central dans les manipulations de masse (et dans Le Meilleur des Mondesd’Huxley).

J’ai donné une longue interview sur les concepteurs, financeurs et promoteurs de « l’éducation sexuelle » et des « droits sexuels ».

Et enfin, j’ai rétabli quelques vérités nécessaires au sujet de Freud, qui n’a jamais cautionné dans son œuvre ni « l’éducation sexuelle » des enfants ni leur sexualisation, dans une lettre de réponse au Professeur Judith Reisman qui me questionnait à ce sujet.

Je me rends compte aujourd’hui que tout ce travail d’alerte est très loin d’être assimilé, et qu’il faut laisser le temps afin qu’il soit diffusé, lu, et compris.

On me demande encore et toujours plus, certains me transformant en “leader” d’un mouvement, d’autres me demandant de redonner ce que j’ai déjà donné, sous d’autres formes, encore et toujours, de répéter, d’expliquer de nouveau etc.

Je ne crois pas que cela soit juste, ni pour moi, ni pour autrui, de m’inscrire là-dedans.

J’ai toujours constaté que la souffrance du monde provenait de ce que les gens n’étaient pas à la bonne place pour eux et pour l’humanité. J’ai passé dix ans en entreprise à le diagnostiquer. Ce n’est pas ma place que de faire le perroquet à répéter ce que j’ai déjà dit, ni d’être un leader.

Je suis une intellectuelle, je travaille des textes avec précision, avec rigueur, dans le silence de l’étude et la distance contemplative, je ne suis pas une militante de terrain ou de partis politiques, ni une agence de communication sur les réseaux sociaux.

Je n’aime pas faire des vidéos, ce n’est pas mon hobby. Je les ai faites pour faciliter la compréhension, mais je suis quelqu’un du livre, pas de la société des médias.

Cela me coûte beaucoup de m’exposer ainsi sur les réseaux sociaux, je dois rajouter que je subis depuis plusieurs mois des diffamations publiques et des calomnies privées, derrière mon dos, il va arriver un moment où je vais demander des comptes, non pas tant pour moi (je m’en contrefiche éperdument) que parce que ces calomnies (et même, parfois, ces trahisons), en cherchant à m’affaiblir, visent à discréditer mon travail. Ce n’est pas parce que je n’ai rien dit durant des mois que je n’ai pas observé, enregistré, analysé, sachez-le bien.

Sachez aussi que des personnes qui m’aident ont subi des pressions, des intimidations, ma page et mes mails ont subi des tentatives de hacking etc. Croyez-vous que nous nous exposions par plaisir ?

Chacun peut désormais faire son travail d’assimilation, de compréhension et de diffusion à partir de l’ample matière que j’ai déjà donnée.Ce n’est pas à moi de faire un travail de diffusion : c’est à VOUS.

Pour la revue de presse régulière sur les dérives idéologiques de “l’éducation sexuelle” et des “droits sexuels”, que ceux qui sont intéressés m’envoient un mail à l’adresse suivante : contact@arianebilheran.com

Car il est désormais certains que, comme pour toute idéologie, l’on prendra comme acquis le premier principe de “l’enfant sexualisé”, jamais démontré par la science, et contredisant non seulement le bon sens mais le fonctionnement psychique et biologique de l’enfant. Cf. les évolutions législatives en cours…

Ceux qui veulent approfondir et comprendre comment fonctionnent les idéologies et les contagions délirantes de ces idéologies, peuvent se procurer deux livres en particulier :

= manipulations du langage, contagions délirantes des idéologies

= idéologie, son fonctionnement psychique.

La meilleure façon de soutenir mon travail, pour ceux qui le souhaitent, est de partager mon travail, d’acheter mes livres, de les lire et de les offrir, mais aussi de les commenter sur Amazon et sur mon site.

J’ai créé la boutique en ligne afin de répondre à vos demandes de ne plus passer par Amazon pour pouvoir acheter le livre, il est donc désormais en numérique sur mon site internet.


Merci à vous, à tous ceux qui protègent l’innocence de l’enfance et l’esprit humaniste, à tous ceux qui ont cru en mon travail dès la première heure et m’ont soutenue indéfectiblement contre vents et marées, de mille façons.

En m’apportant de l’aide matérielle, du soutien moral, en contribuant à véhiculer mon travail, vous, et plein de personnes que je ne connais pas directement, vous m’avez aidée et avez donc participé à réveiller l’humanité qui s’enfonce vers le pire chaque jour.

Merci, du fond du cœur.


Ariane Bilheran, normalienne, psychologue clinicienne, docteur en psychopathologie, écrivain.

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